
Chronique d’un Androïde : This time it’s war
Depuis 6 heures, l’Androïde essaie de fermer l’œil pour dormir, mais impossible. Comme le narrateur de Fight Club, cette insomnie m’empêche d’accéder au seuil de l’abêtissement nécessaire pour baver sur l’oreiller du Golden Tulip Farah de Khouribga. Chaque fois que l’Androïde se retrouve dans un hôtel c’est le même refrain …